Gains sportifs d’antologie, mises à 10 centimes, cotes à 2 millions, retrouvez les paris les plus improbable de l’histoire. De Lewis Hamilton à Xabi Alonso, ils ont fait gagner les parieurs.
13 des plus gros gains sportifs sont des paris
Gains sportifs d’antologie, mises à 10 centimes, cotes à 2 millions, retrouvez les paris les plus improbable de l’histoire. De Lewis Hamilton à Xabi Alonso, ils ont fait gagner les parieurs.
13 des plus gros gains sportifs sont des paris
Les plus gros gains sportifs plus précisément 13 des plus gros gains sportifs sont des paris ne sont pas dans les salaires mirobolants des footballeurs ou des tennismans, mais bel et bien dans les paris sportifs. La preuve par 13 !
Le jeudi 21 mai 2015, une perpignanaise a signé l’une des plus grosses cotes de l’histoire du pari sportif français : presque 2 millions. Ce n’est que le chiffre de son gain, car l’heureuse gagnante avait décidé de jouer la sécurité, en ne misant que… 10 centimes d’euro, soit un gain de 198 272 euros.
Pour y parvenir, la chanceuse n’avait misé qu’un multi de quinze matchs de football, mais pas sur n’importe quels championnats. Oubliez la Premier League, la Bundesliga, ou encore la Ligue 1. Cette dame des Pyrénées-Orientales avait misé sur des matchs des championnats slovène, norvégien, roumain et azerbaïdjanais !
Dans la même veine, un Britannique est parvenu à faire encore mieux que la Française, mais pas de beaucoup.
On connaît tous l’amour des Anglais pour les courses hippiques. Ce n’est pas Fred Craggs qui nous fera dire le contraire. Cet habitant du Yorkshire a misé 50 centimes de livre en 2008, sur huit chevaux, dont les improbables Racer Forever, Isn’t That Lucky et A Dream Come True.
Résultat des courses, une mise victorieuse et un gain d’1 000 000£, pour une cote d’exactement 2 millions. Comme quoi, dans l’univers des paris, les miracles sont loin de n’arriver qu’une seule fois.
Il a « repéré une tendance ». C’est ainsi qu’il expliquera comment en un mois de paris en ligne, il a réalisé 890 000 euros de gains sur Betclic. C’est le gain le plus important de l’histoire des paris sportifs pour le bookmaker Betclic.
Jérôme, 23 ans, l’a réalisé en constatant une série de matchs nuls en ligue 1, soit 6 matchs nuls le 03 février 2021. Il n’en fallait pas plus pour qu’il parie sur la même tendance en Bundesliga. Un pari gagnant, puisque sur 7 rencontres pariées comme allant se solder par un nul, il en a remporté 6, soldant son mois de paris par une somme de 890 000 euros, qui est venue s’ajouter à ce qu’il avait déjà empoché.
Alors que le championnat anglais, millésime 2015-2016, va débuter, un supporter des Foxes parie sur la victoire de son équipe en fin de saison. Un pari ante-post plus qu’audacieux, quand on sait que la dernière victoire d’une équipe ne faisant pas partie du Big Four remontait à 1995 (exception faite de Manchester City), avec la victoire des Backburn Rovers.
A lire pour en savoir plus sur le pari ante-post : Parions sport en comprenant les types de paris sportifs
Alors qu’il n’a joué que 20 livres sterling, John Pryke aurait pu remporter 130 000 euros, s’il n’avait pas cédé aux sirènes des bookmakers, qui ont racheté son pari par un cash out à 37 000 euros. C’est toujours ça de pris.
Parier sur le foot lui semblait un peu ennuyeux, alors Grégory Caubet, gérant de salle de fitness à Toulouse s’est dit qu’il fallait un peu pimenter tout cela. Pour commencer, il a parié sur une épreuve de Biathlon, histoire de s’échauffer. Ensuite, il est revenu sur le football, avec le championnat portugais.
Il fallait ensuite qu’il quitte les terrains verts pour les parquets des salles de Baskets, puis les cours de tennis, avant de terminer par la rencontre Bayern-Münich-Augsburg. Une rencontre qui lui vaudra le gain improbable de 399 461 euros.
Mais l’aventure n’a pas été de tout repos pour le parieur. Alors qu’il avait parié Djokovic contre Monfils, le Français a heureusement gâché plusieurs balles de match. A Porto, l’équipe de la capitale n’a trouvé le chemin des filets qu’en fin de deuxième mi-temps, et à Münich le rêve a bien failli s’arrêter.
Alors qu’il a parié sur une victoire de Münich, étincelant en championnat et en coupe d’Europe, les champions d’Allemagne en titre callent. Augsburg inscrit un but à la 86ème minute, qui est finalement refusé pour une position de hors-jeu. Finalement, le Bayern marque, et délivre les supporters venus assister aux 120 ans du club, et Grégory Caubet, à qui Winamax remet un chèque historique dès la sortie du stade.
Débuter en coupe du monde, miser 80 euros, et repartir avec 259 000 euros, c’est ce qu’a réussi à faire un novice du pari en ligne.
Chauffé par l’organisation de la Coupe du Monde 2018, il s’inscrit sur Winamax et, avec le bonus de bienvenue, mise 80 euros dans un combiné comptant 12 matchs, pas des plus faciles. Le novice a pensé que parier sur les matchs de poule serait la bonne affaire.
Les 12 rencontres se déroulent exactement comme il les a pariés, et décroche la somme de 259 000 euros. Le vainqueur de la Coupe du Monde 2018 n’est pas la France, c’est lui, et dès les phases de poules.
Ce n’est pas la plus grosse cote de l’histoire, mais à 15 974.88 contre un, cela peut déjà impressionner. C’est ce qu’a réussi ce vainqueur d’un combiné proposant 16 matchs de football répartis sur sept championnats, dont les championnats turque et suisse.
Devant les faibles chances de réussite du pari, Winamax a proposé au joueur un booster de 115 000 euros, qui lui a permis d’empocher la jolie somme de 306 170 euros.
Adrian Hayward, un habitant de la petite ville de Newbury, paria en ouverture de saison de Premier League en 2006, que Xabi Alonso allait marquer depuis sa propre moitié de terrain, à un moment quelconque du championnat.
C’est en FA Cup que le pari d’Adrian Hayward se réalisa, avec un but de Xabi Alonso depuis sa moitié de terrain, dans les buts de Luton. Après une mise à 200 livres, Hayward venait de remporter un pari à 125 contre 1.
Avec une cote à 683 738 contre 1, les 0.80£ pariés par un habitant de l’île de Malte, lui ont rapporté la coquette somme de 585 000£. Une victoire qu’il doit aux 38 équipes engagées dans ses paris. Pour faire durer le suspens, son dernier match était celui de Liverpool contre Chelsea.
Une victoire des Reds, scellée dans les dernières minutes de jeu lui a permis de réaliser ce tour de force absolument incroyable, et de remporter la mise.
Si après avoir lu le détail de toutes ces victoires, vous pensez encore que le pari n’est qu’une question de chance, attendez de lire les paris complètement dingues de ces joueurs chevronnés.
C’est exactement ce qu’a réussi F. Aymen, un Français qui a dépouillé Winamax et Unibet, l’un à la suite de l’autre, et sans cash-out.
C’est en 2018 que l’histoire se passe. Un parieur vient de valider deux paris sportifs pour une somme totale de 326 000€ ; deux paris réalisés la même semaine avec deux bookmakers différents. Une prouesse qui relativise le caractère chanceux de ses succès.
En misant un total de 150 euros, F. Aymen a tout d’abord décidé de jouer 13 matchs en combiné pour la somme de 100 euros, sur Winamax. Les matchs sont tout ce qu’il y a de plus classique, avec des rencontres de Ligue 1 Conforama.
Une fois les 172 359 euros de gains de ce premier combiné, F. Aymen s’est dit qu’il pourrait récidiver, en pariant 50 euros sur Unibet, pour un combiné de 14 matchs. Avec une première cote chez Winamax à 1 723 contre 1, puis une seconde cote chez Unibet à 2 058 contre 1, l’heureux parieur a ajouté 154 336 euros à son palmarès.
A lui les 326 000 euros de gains, qui lui auraient passé sous le né, si un but à la 94ème minute du temps additionnel entre Gênes et le Milan AC, n’était pas venu lui donner raison…
C’est ce qu’à fait une femme originaire de Seine-et-Marne. Comment cette femme, qui n’y connaît rien au foot, a-t-elle fait pour l’emporter ? En utilisant la technique ancestrale de la contradiction. En pariant l’exact inverse des paris de son mari, spécialiste de foot. Résultat : 593 393 euros.
Matchs de Ligue 1, matchs de Premier League, la jeune femme parie tout l’inverse des grilles de son mari. 14 matchs joués en combinés, avec une chance sur trois à chaque match : c’est le jackpot. Paris fait match nul au Parc contre Monaco, Nantes passe 2 buts à Saint-Etienne, et Dijon s’impose face à Lille !
En ce jour de janvier 2020, elle n’a fait que recommencer une technique qu’elle avait déjà éprouvée. Puisqu’en jouant l’exact inverse des grilles de son mari, et de son père, elle avait déjà remporté 40 000 euros.
Comme quoi, la vraie spécialiste, c’est elle.
Vous pariez souvent des grosses sommes pour gagner beaucoup d’argent ? Laissez tomber. Mick Gibbs, est celui qui a placé deux paris gagnants, à deux ans d’intervalle, en ne pariant que 2,50£, puis 0.30£.
Le premier, en 1999, est un combiné de neuf matchs de football. En ayant vu juste, il a alors récolté la somme de 157 000£. Il ne s’est pas arrêté là. Comme Aymen et notre petite dame de Seine-et-Marne avant lui, il a rejoué. En 2001, pour un pari de 30 centimes, il joue un combiné de pas moins de 15 événements, pour transformer sa mise en 500 000£. On parle bien d’événements et non pas de matchs. Car cet incroyable parieur a trouvé juste :
Vous pensez que vous auriez pu le faire ?
En 1993, Richard Hopkins, un Anglais de Peterborough, emmène son fils faire du karting. Sur le circuit, s’entraîne le jeune Lewis Hamilton, alors seulement âgé de 13 ans.
Alors qu’il le regarde performer sur le circuit, Hopkins décide d’aller chez les parieurs et de placer 200£ sur une victoire en Grand Prix du jeune homme avant ses 23 ans. Il ne s’est pas arrêté là, avec un pari à 100£ pour une victoire du même Hamilton au championnat du monde cette fois, avant ses 25 ans.
Pour maximiser l’ensemble de ses paris, il plaça encore 50£ sur la réalisation de ces deux événements. Les cotes de ces paris respectifs étaient alors de 300 contre 1, 500 contre 1, et 1500 contre 1. Exactement 10 ans plus tard, en 2008 et à l’âge de 23 ans, Hamilton réalisait les prédictions de Hopkins, lui faisant gagner la somme de 165 000£.
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